Le Petit Nicolas en breton
Les aventures du Petit Nicolas sont disponibles en breton. « Nikolazig e brezhoneg » s’adresse à la fois aux élèves et aux professeurs de langue bretonne ainsi qu’à tous ceux qui ont à cœur de faire vivre leur patrimoine linguistique. Plus de 250 000 personnes le parle activement. Nicolas devient Nicolazig. Alceste, Evarzeg et Clotaire rebaptisé Nigouden… Le lecteur aura à sa disposition un lexique qui lui apprendra que : « faire des grimaces » peut se dire « geizoù » que « marmouz » signifie « faire l’idiot » et que désormais « Moumoun » est le « chouchou » de la maîtresse. En famille ou à l’école, des milliers d’enfants pourront découvrir les aventures du Petit Nicolas en breton. Fiskal eo !
Retrouvez six histoires extraites de La rentrée du Petit Nicolas ( On va rentrer – Les Invincibles – La cantine – Souvenirs doux et frais – La maison de Geoffroy – Excuses ).
« Fiskal eo ! » « C’est chouette ! »
Un traducteur de renom :
Divi Kervella est l’auteur des ouvrages de la célèbre méthode Assimil consacrés au breton. Il est membre du Conseil scientifique de l’Office public de la langue bretonne. Il a assuré la traduction d’Astérix en breton (écrit également par René Goscinny), de Tintin, du Chat, ou encore des Blondes. Il est également co-auteur, avec Mikael Bodlore-Penlaez, du très remarqué Atlas de Bretagne / Atlas Breizh, entièrement bilingue, paru en 2011.
Collection : Le Petit Nicolas dans les Langues de France
La France est riche de 75 langues de France. Les éditions IMAV se sont lancées un défi : traduire le Petit Nicolas dans toutes ces langues. L’œuvre de Goscinny et Sempé sera peut-être la première à réaliser ce tour de Gaule au complet. Ces traductions s’inscrivent dans le cadre d’une ambitieuse collection des « Langues de France » visant à promouvoir la diversité linguistique de la France.
Les langues de France sont définies comme « les langues régionales ou minoritaires parlées traditionnellement par des citoyens français qui ne sont langues d’aucun autre Etat. »